Du sein des églises remonte souvent cette question : Pourquoi ne voit-on plus les miracles ?
– Nous ne pouvons pas accuser Dieu puisqu’il ne change pas dans sa fidélité, dans sa bonté, … et le sacrifice de Christ est toujours suffisant pour notre salut et notre guérison.
– Nous ne pouvons pas accuser le monde de ce fait puisque Dieu est souverain et qu’il fait ce qu’il veut. Par contre, la matérialisme de notre monde nous a entrainé dans une attraction des choses terrestres et non plus des trésors célestes.
– Nous ne pouvons accuser le diable car Dieu est plus puissant et que Jésus nous donne la force de lui résister. Cependant, nous nous sommes peut-être laissés gentiment endormir, tenter par les alléchantes propositions dans nos pensées de ne plus faire d’effort dans le domaine spirituel et de nous reposer sur nos acquis.
-> Nous pouvons donc en conclure qu’il faut nous accuser, nous, chrétiens, non pas pour nous accabler mais pour nous faire prendre conscience qu’il faut nous réveiller et que l’on a perdu certaines fondamentaux. Arrêtons de chercher à droite ou à gauche de nouvelles solutions pour « appâter les âmes » et revenons à l’évidence : il nous faut d’abord croire, avoir la foi ! Avant la prière car si nous prions sans croire, notre prière est vaine.
Croyons que rien n’est impossible à Dieu, croyons en SA parole, croyons au Saint-Esprit envoyé pour nous, croyons à la puissance de délivrance, de salut et de guérison qui se dégage du sacrifice de la croix de Christ !
Dieu nous appelle à nous réveiller et à croire totalement !
Et si nous croyons, nous pourrons alors voir les miracles en priant avec foi, dépendant de sa grâce…
Hébreux 11:6 : « Or sans la foi, il est impossible de lui être agréable car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. »
Voici ci-joint la prédication apportée au Refuge intitulée « Le défi de la foi » (fais partie de la série « Les défis du chrétien au XXIème siècle »)
Benjamin LAMOTTE
Commentaire sur “Le défi de la foi”
Merci de m’avoir instruit c’était à lire